vendredi 1 mai 2015

jeudi 11 septembre 2014

EN CES TEMPS DE DÉBANDADE, L'HUMOUR FÉROCE DES FRANÇAIS DEVRAIT FAIRE RÉFLÉCHIR FRANÇOIS HOLLANDE

C'est une tradition populaire française très ancienne que de savoir rire des malheurs du temps.

C'est par un mot piquant, une chanson sarcastique, une caricature impitoyable, un quolibet perfide, une épigramme assassine, que nos aïeux résumaient l'humeur du temps, pour exprimer leur sentiment de révolte contre les agissements scandaleux des puissants du moment.

De nos jours, cet esprit frondeur est plus vivace que jamais. Il s'est même étoffé de nouveaux moyens de communication, comme les messages innombrables sur Internet ou Tweeter, et les facilités permises par les logiciels de photos-montages.

Tout cela offre à la créativité de nos concitoyens un champ immense pour exprimer leur mécontentement, leur indignation, leur colère, sur un mode humoristique et cinglant.

C'est dans cette tradition que "Rires & Chansons" vient de mettre en ligne le pseudo-formulaire administratif que je joins ici en photo. Il résume à lui seul l'énormité du scandale créé par les consorts Thévenoud :



Si ce scandale remue la France de fond en comble, c'est parce qu’il révèle de façon obscène le gouffre qui sépare : d'un côté le monde frelaté dans lequel vivent les Cahuzac, Thévenoud de « gauche », ou les Copé, Balkany, Sarkozy de « droite » ;  et de l’autre côté la vie quotidienne des Français, dont le niveau de vie chute, et qui sont constamment harcelés par le paiement des impôts, des contraventions, des loyers, des notes de médecin, etc.

François Hollande devrait très sérieusement méditer l’humour ravageur qui s’exprime par ce formulaire, sans parler des quolibets et des caricatures à son encontre qui submergent les conversations dans la rue et Internet avec la puissance d'un raz-de-marée.

Car si c'est une tradition très française de rire des comportements scandaleux de ceux qui les dirigent, c'est aussi une tradition très française de finir, un jour, par arrêter de rire. Lorsque l’exaspération est à son comble et qu'elle grimpe encore et encore, elle finit chez nous par déboucher sur les émeutes et la révolution.

L’atmosphère qui règne en France ces jours-ci n’annonce rien de bon.

François Asselineau
11 septembre 2014


« LA SEULE CHOSE NÉCESSAIRE AU TRIOMPHE DU MAL, C’EST QUE LES GENS DE BIEN NE FASSENT RIEN. »  Edmund Burke (1729 - 1797).

N'oubliez jamais cette terrible formule de l'homme politique et philosophe irlandais Edmund Burke. C'est aujourd'hui qu'il faut en comprendre toute la portée. De nos jours, ceux qui veulent piller la France et détruire notre niveau de vie n'ont besoin, pour parvenir à leurs fins,  que de votre inaction.

===> Vous refusez d'assister en direct à la destruction de la France ? Alors agissez !

==> Avec l'UPR, dites NON à la destruction programmée de la patrie de Gambetta, Clemenceau et Charles de Gaulle.

==> Opposez-vous résolument à la soumission à l'empire euro-atlantiste qui est en train de ruiner notre niveau de vie et de nous entraîner dans des guerres terrifiantes avec le reste du monde.  

==> Rejetez en bloc tous les européistes français, de pseudo "droite" et de pseudo "gauche", qui ont vendu la France pour assouvir leur misérable carriérisme et leur cupidité.

Ne remettez pas à demain. Dès aujourd'hui, ADHÉREZ à l'UPR !

mercredi 10 septembre 2014

RÈGLEMENT DE COMPTES ENTRE ESCROCS

On aura décidément tout vu ! La réaction de Jérôme Cahuzac à l'affaire Thévenoud est à elle toute seule un symbole extraordinaire de l'état de nécrose de la scène politique française.

La voici :

« Nos cas ne sont pas similaires. Moi, j'avais une chance que mon histoire ne soit jamais connue. Moi, j'ai fait une connerie il y a 22 ans (le compte en Suisse, ndlr), et, si mon épouse ne m'avait pas dénoncé à Plenel (le directeur de la rédaction de Mediapart, ndlr), il n'y aurait jamais eu d'affaire. Thévenoud, lui, a reproduit la même faute chaque année, pendant trois ans, et il n'y avait aucune chance pour que ça ne se sache pas ».

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Commentaires
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Ce qui fascine dans cette déclaration, c'est le cynisme absolu de tout ce petit monde. Il n'y a pas un mot de regret ni de morale.

La seule chose, au fond, que l'ancien ministre PS Cahuzac reproche à l'ancien ministre PS Thévenoud, c'est d'avoir été bien plus imprudent que lui. De n'être, en quelque sorte, qu'un amateur en matière de fraude fiscale.

Source : http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2014/09/10/25002-20140910ARTFIG00085-jerome-cahuzac-fait-la-lecon-a-thomas-thevenoud.php




dimanche 15 juin 2014

BEAUCOUP PLUS IMPORTANT QUE NOS ÉLECTIONS LÉGISLATIVES POUR RIRE : LES "GOPÉ" POUR 2015 VIENNENT DE SORTIR !



C'est dans la plus grande discrétion que les « Grandes Orientations de Politique Économique » (GOPÉ) fixées par la Commission européenne aux 28 États membres de l’Union européenne pour 2014-2015 ont été publiées le 2 juin dernier [1].

Aucun média de grande diffusion ne s’en est fait l’écho de façon approfondie et sérieuse auprès de nos concitoyens, aucun des partis politiques ayant accès à ces médias non plus. Soit tout ce petit monde n’y connaît rien à rien – ce qui est hélas certain dans bien des cas – soit il a jugé beaucoup plus prudent de distraire l’attention des Français sur des sujets dérisoires et inoffensifs. Par exemple sur les règlements de compte familiaux ou maffieux qui déchirent l’UMP et le FN devant l’indifférence blasée des Français.

Pourtant, ces GOPÉ publiées à l’aube de la trêve estivale constituent ni plus ni moins que la feuille de route fixée à chaque État membre de l'Union européenne pour les 12 mois qui viennent, en vertu de l'article 121 du TFUE (traité sur le fonctionnement de l'Union européenne) [2].

Il est donc du plus haut intérêt d'analyser quelles sont ces recommandations que les membres non élus de la Commission européenne - et dont 96,4% ne sont pas Français (27 commissaires sur 28) – ont décidées pour la France. Puisque ces « recommandations » vont constituer la politique économique de la République française mise sous tutelle, il est assurément beaucoup plus important d’en prendre connaissance que de s’enquérir des résultats de telle ou telle de nos élections pour rire.

La Commission évalue tout d'abord le programme présenté par le gouvernement, que ce soit le « programme national de réformes » ou le « programme de stabilité ».

L'objectif affiché par le gouvernement (qui lui est imposé par les traités européens) est de corriger en 2015 le déficit du budget de l’État. Car celui désormais prévu pour 2014 est une nouvelle fois très excessif par rapport aux normes européennes, comme il l’a été en 2013, en 2012, en 2011, en 2010, en 2009, en 2008, etc. Le couteau sous la gorge, le gouvernement français a donc promis-juré qu’il ramènerait cette fois-ci notre déficit budgétaire à -0,5 % du PIB… en 2017.

Pour que Paris atteigne cet objectif – dont nul n’ignore à Bercy qu'il est extrêmement ambitieux, sinon irréaliste -, la Commission européenne a indiqué en fronçant les sourcils que la « France doit déployer des efforts supplémentaires ». Bigre ! Mais quels sont ces efforts additionnels que demande la Commission [3] ?

Pour bien en saisir le sens et les conséquences, il faut se livrer à un exercice de traduction de la « novlangue » bruxelloise en bon français. Car chacune des formules du jargon bruxellois est porteuse de conséquences très concrètes pour nos compatriotes. Traduisons-les donc.


  • 1- « Réduction des dépenses publiques »
Traduction : c'est ce que le gouvernement a annoncé avec son plan de 50 milliards d'économie [4]. C'est la fameuse contrepartie du « pacte de responsabilité » pour ne pas faire exploser le déficit. À ce pacte de responsabilité peu efficace [5] sur la compétitivité, il est désormais demandé d’ajouter une nouvelle réduction drastique des dépenses publiques.

Ce qu'il faut savoir - et que tous les économistes savent – c'est que pratiquer des coupes sombres dans les dépenses publiques lors qu’un pays est déjà en période de stagnation économique est une politique qui ne peut mener qu’à la récession. Et c'est en outre contre-productif puisque la récession entraîne une baisse des recettes fiscales souvent supérieure aux économies réalisées par la réduction des dépenses. En d’autres termes, cela revient paradoxalement à creuser le déficit que l'on prétendait combler…

Il faut enfin savoir que l’histoire économique enseigne qu’il n'y a pas de baisse des dépenses publiques réussies sans dévaluation monétaire. Songeons aux  exemples récents de l'Allemagne (dévaluation de facto avec l'adoption de l'euro, qui est sous-évalué pour la compétitivité allemande) et de la Suède. Autant dire que la baisse des dépenses publiques est impossible pour la France, du fait que l'euro est très surévalué par rapport à la compétitivité de l’économie française.


  • 2- Redéfinir « la portée de l'action des pouvoirs publics »
Traduction : cela revient à accentuer les privatisations et la destruction de notre système de santé et de nos services publics auxquels les Français sont majoritairement attachés, quelle que soit leur couleur politique [6].
On a par ailleurs vu le succès de la privatisation des autoroutes qui rapportaient à l'État et coûtent désormais très cher aux Français…




  • 3- Le texte va plus loin concernant le système de santé puisqu'il explique que « d'importantes économies à court terme ne peuvent être réalisées sans une réduction significative des dépenses de sécurité sociale »

Traduction : il faut s’attendre à une baisse massive des remboursements de santé, puisque la branche maladie représente quasiment 50 % des dépenses de la Sécurité sociale [7], ainsi qu’à une privatisation rampante de la Sécurité sociale, via le recours croissant aux mutuelles privées, présentées comme solution à tous les problèmes.

Pour la branche vieillesse, il s'agit bien évidemment des retraites qui sont en ligne de mire. Après la hausse de l'âge de départ à la retraite, vient maintenant le gel du montant des pensions [8].

Pour les retraités, la perte de pouvoir d'achat c'est maintenant ! Le texte de la Commission européenne parle d'ailleurs explicitement de gel des retraites et d'autres pensions sociales, ce qui confirme une fois encore que le gouvernement ne fait qu'appliquer la politique de l’oligarchie euro-atlantiste.

Pour le chômage, le texte parle de « dégressivité des allocations » : cela augure d’une baisse plus importante et plus rapide des allocations dans le temps.


  • 4- « Simplifier les différents échelons administratifs »
Traduction : voilà l’une des motivations avancées par les pouvoirs publics pour adopter une nouvelle loi de décentralisation.

Il faut pourtant noter qu’aucune des lois précédentes de décentralisation n’a apporté d’économies substantielles. Bien au contraire, les coûts des collectivités locales ont généralement eu tendance à exploser [9].

Cette injonction de réduction des échelons administratifs témoigne donc, non seulement que la République française n’existe plus comme État souverain et indépendant, mais aussi qu’en dépit de leur nom, les GOPÉ ont aussi des visées géopolitiques. Ce qu’elles visent, ce ne sont pas seulement des économies budgétaires, c'est aussi, et ni plus ni moins, que le démantèlement des grands États nations d’Europe, au premier rang desquels la France, avec des grandes régions qui traiteront directement avec Bruxelles [10].

En fidèle employé de l’oligarchie euro-atlantiste, François Hollande parle d'ailleurs lui-même de « régions à taille européenne » [11].


  • 5- Dans le chapitre coût du travail, « il convient que le salaire minimum continue d'évoluer d'une manière propice à la compétitivité et à la création d'emploi »
Traduction : il faut : a) arrêter les revalorisations du SMIC ; b) commencer à mettre en œuvre sa suppression.

Ne doutons pas que des campagnes de presse se préparent pour expliquer au bon peuple que le SMIC serait « un frein à la croissance » et que sa suppression permettrait de « libérer les énergies »…


  • 6- « Une attention particulière devrait être accordée aux dispositions réglementaires du Code du travail ou aux règles comptables liées aux seuils spécifiques en matière d'effectifs, qui entravent la croissance des entreprises françaises »
Traduction : tiens donc ! C'est exactement ce que « propose » François Rebsamen, le prétendu « ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue social » du gouvernement.

Même si, selon la tactique d’enfumage habituelle, dite « des lieutenants », certains socialistes font mine de s'y opposer. [12] Opposition pour la galerie bien entendu.


  • 7- « Accroître la souplesse des conditions de travail en cas de difficultés économiques provisoires »
Traduction : il faut poursuivre la remis en cause de l’existence même des contrats de travail à durée indéterminée (CDI) et accroître la précarisation des contrats de travail.


  • 8- « Une majorité reste confrontée à d'importantes barrières à l'entrée ou à l'exercice (par exemple les taxis, le secteur des soins de santé, les notaires et, plus généralement, les professions juridiques) »
Traduction : il faut déréguler tous ces secteurs, déjà mis à mal par les traités européens.

Il faut noter que cette idée est un serpent de mer, qui a déjà été souligné par maints rapports antérieurs, notamment le fameux « rapport Attali » de la « Commission pour la libération de la croissance française ». Chargée par le président de la République de l’époque, Nicolas Sarkozy, de fournir des recommandations afin de « relancer la croissance économique » de la France, la Commission Attali avait rendu son rapport final le 23 janvier 2008 dans lequel on trouvait déjà ces prétendues solutions pratiquement mot pour mot.


  • 9- « Les tarifs réglementés restent d'application pour les ménages et, en ce qui concerne l'électricité, ils sont fixés en dessous des niveaux de coûts et l'accès pour les autres fournisseurs est limité »
Traduction : la hausse des tarifs et la privatisation d'EDF sont au programme.

La Commission européenne a d'ailleurs le culot de prendre l'Espagne comme modèle de pays qui a appliqué ces recettes. Avec le succès que l’on voit !


  • 10- « Dans le secteur ferroviaire, des barrières à l'entrée continuent d'entraver le bon fonctionnement du marché »
Traduction : comme précédemment, c'est la privatisation de la SNCF et sa mise en concurrence forcée qui sont au programme du gouvernement.




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CONCLUSION
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On l’aura compris, aucune de ces mesures visant prétendument à la réduction du déficit budgétaire et à la relance économique n’aura l’effet escompté.

Non seulement parce que vouloir baisser les dépenses publiques est une absurdité en période de stagnation économique, mais parce que ces mesures ne peuvent régler en rien le problème n°1 de compétitivité de la France : l'euro [13].

Les inspirateurs de ces mesures n’étant pas stupides, ils ne se font d'ailleurs sans doute aucune illusion sur leur inefficacité pour réduire le déficit budgétaire et relancer la croissance. Leurs objectifs ne sont pas là. Ce qui est en réalité visé, c’est à la fois de démanteler les États nations et de détruire tous les acquis sociaux obtenus par les peuples européens depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale.

Pour la France, ce programme voulu par l’oligarchie passe par la suppression des départements et des communes, une décentralisation de plus en plus poussée, la mise en pièces de notre système social et la disparition de nos services publics.

En bref, la disparition par étapes de la République française et la destruction complète du programme du Conseil national de la Résistance [14].

Tout cela résulte de la logique même de l'euro et de l'Union européenne. Il s’agit bel et bien d’une guerre livrée au peuple français et qui leur impose ce double anéantissement, qu'ils votent « à gauche » ou « à droite ».

À situation inédite, solution inédite. Si les Français veulent sortir victorieux de cette guerre, ils doivent se rassembler pour faire sortir au plus vite la France de l'UE et de l'euro, solution que l'Union Populaire Républicaine (UPR) est la seule à proposer. [15]



Charles-Henri GALLOIS
Référent temporaire de l'UPR pour les questions économiques
Référent temporaire de l'UPR dans la Nièvre






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RÉFÉRENCES DE CET ARTICLE
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jeudi 17 avril 2014

mardi 15 avril 2014

L’UPR TIENDRA SON 3ème CONGRÈS LE SAMEDI 3 MAI 2014 À NOGENT-SUR-MARNE

15 avril 2014, 16:32


OBJET : LE 3ème CONGRÈS DE L’UPR SE TIENDRA LE SAMEDI 3 MAI 2014 À NOGENT-SUR-MARNE


TEXTE :


Le troisième Congrès de l’Union Populaire Républicaine (UPR) se tiendra le samedi 3 mai 2014 de 9h00 à 20h00 au Théâtre de Nogent (scène Watteau), 1 place du Théâtre à Nogent-sur-Marne (94130).

Organisé tous les trois ans, le Congrès permet de renouveler les instances dirigeantes de l’UPR et d’inaugurer une nouvelle phase de développement de notre parti. 

Lors du Congrès fondateur le 25 mars 2007, l’UPR avait enregistré l'adhésion d'une vingtaine d'adhérents, lesquels avaient alors entériné la Charte fondatrice du mouvement. 

Le deuxième Congrès, tenu le 3 décembre 2011, avait été l’occasion pour François Asselineau, Président du mouvement, de présenter le programme présidentiel de l'UPR, largement inspiré du programme du Conseil National de la Résistance de 1944. L’UPR dénombrait alors 650 adhérents dans ses rangs.




Après avoir suivi une progression de nature exponentielle, l’effectif de l’UPR a atteint 4.640 membres au 14 avril 2014, la moyenne des nouvelles adhésions depuis le 1er janvier 2014 étant de 8,2 par jour. Le Congrès du 3 mai 2014 va donc se tenir dans un contexte d’intense développement, et cela bien que les médias de grande diffusion continuent d’observer un silence complet sur l’existence de l’UPR et sur notre présence aux élections européennes, dans les 8 circonscriptions inter-régionales.

Au cours de la matinée du 3 mai auront lieu l’assemblée générale des adhérents, l’entérinement des modifications des statuts et le vote pour le renouvellement des dirigeants du parti.

L’après-midi sera consacrée aux interventions des candidats têtes de listes de l’UPR aux élections européennes du 25 mai, à l’annonce et au discours du président élu.

Ce troisième Congrès interviendra à trois semaines du scrutin européen, à l’occasion duquel les Français pourront, pour la première fois, voter pour l’UPR, seul parti politique en lice proposant de faire sortir la France de l’Union européenne par application de l'article 50 du traité sur l'Union européenne (TUE), de la faire sortir de l’euro, et de la faire sortir de l’OTAN.




La progression inexorable du taux d’abstention à tous les scrutins depuis plusieurs décennies - 61% aux élections européennes de 2009 - montre que les Français rejettent tous les partis politiques médiatisés, y compris le Front National, et sont en quête de propositions politiques nouvelles.

Or seule l’UPR est en mesure de ramener vers les urnes toutes celles et tous ceux qui veulent que leur vote retrouve du sens. Car seule l'UPR peut extraire les Français du piège du "FNUMPS", qu'elle est d'ailleurs la seule à dénoncer.

En focalisant indûment l'attention des Français sur la pseudo-opposition entre l'UMP et le PS, et en accordant une couverture médiatique scandaleusement démesurée au FN dans le seul but de rendre odieuse à 80% de l'électorat l'idée même de souveraineté nationale, l'oligarchie euro-atlantiste organise depuis trois décennies des alternances politiques factices entre des partis qui n'ont pour seule ligne directrice que la même docilité à ses instructions.


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Les journalistes souhaitant assister à l’après-midi du 3e Congrès (14h30-20h00) sont invités à se signaler, s'ils le souhaitent et pour des questions d’organisation, auprès de François-Xavier Grison dont les coordonnées sont :


francois-xavier.grison@upr.fr